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Appel à candidatures: Prix pour la recherche en éducation en Afrique

recrutement de stagiaires à Thiès/recrutement de stagiaires à Kaolack/candidatures et note d'information/ESEA/UCAD/Appel à idées/subventions de recherche/ETHOS/subventions de recherche/Directeur de l'EDJPEG/Revue Espaces et Sociétés en Mutation/Appel à propositions-sep2d/candidatures postes assistants/Appel-C-CoDE/Département Histoire du droit/UCAD-FST-Recrutement/recherche postdoctorale/secrétaire bureautique/UCAD/Admission à l'ISAC/Fonds de recherche et d’interventions/conservateur/Consultants Riposte nationale au COVID-19/candidatures aux voyages d'études 2020 /enseignants-chercheurs/FMPO/Appel-Bourse postdoctorale/Appel à projets 2020/Travailleurs sociaux/stage en Malaisie/ingénieur informatique et Chargé d'édition/chargé de Com H/F/URICA/ETHOS-Coronavirus/assistant en géographie humaine/personnels administratifs et techniques/FST/Assistante de chef de département/enseignants formateurs en TIC/Ingénieur de conception/poste de CSA/conservateur de bibliothèques/Excellence in Africa/promotion Droit fiscal/Prix d'excellence Général Lamine CISSE/enseignants-chercheurs à l'UVS/U-Thiès-Appel/Enseignant chercheur en Environnement/candidatures Prix Nelson Mandela/Stages de la FAO/postes de PATS/CESTI/Ifremer/Recrutement à l'Office du Bac/assistant administratif et comptable/ANAQ-Sup/AJ-CORE/Rectorat de l'UCAD-ISAC/agent de service chargé du nettoiement/poste de Directeur à l'ENSETP/Assistant administratif chargé du développement/chargé du développement des projets/Appel à propositions-CODESRIA/ISED-Appel/agents gestionnaires et techniques/Informaticien et Conservateur des bibliothèques/enseignants-chercheurs/FST/cadre comptable supérieur/candidatures pour un programme d'échanges/personnel administratif/technique/formateur à l’isep de Richard-Toll/bourse postdoc/assistants à l'ISE/enseignants-formateurs à l’sep de Matam /FishBase et la taxinomie des poissons/postes d’enseignants-formateurs /Prix des meilleures thèses/Master MITRA/Organisation Islamique/Appel à candidatures-ESP/Programme MOPGA/IPDSR/ISED-UCAD/Appel à candidatures de l'IGT/Master en Réseaux Télécoms/Master de Traduction/vacance de poste/École supérieure Polytechnique/chercheur en Machinisme agricole/Directrice Financière/chargé du développement des projets/Assistant administratif chargé/bourses d'étude au Japon/Modélisations statistique et Informatique/Master en Nutrition et Alimentation Humaine/test d’entré à l'ISAE/Agents de sécurité/assistant en génie électrique/FSJP-UCAD/ISAC/UCAD/IST-2019/Relance appel à candidatures/Assistante du Directeur général/UFR SEG/EAMAU/enseignant en géotechnique/recrutement des étudiants de l’UPA/vaguemestre /Guide interprète touristique/recrutement de son directeur/CERER/manifestations scientifiques/comptable matière/recrutement de 06 enseignants-chercheurs/enseignants maîtres de conférences/Formation des Secrétaires/OCI-Avis de vacance de poste/Institut des Finances de Chong Yang/Bourses de soutien UEMOA 2019- 2020/Prix Ramanujan 2019/Bourses fulbright 2020-2021/BU de l'UCAD/ERASMUS+UCAD-UCM/Enseignant-chercheur en Archivistique/Rectorat UCAD/Les dossiers deENSETP-UCAD/Webmaster et Relieur/recrutement d'une secrétaire/Prix meilleure thèse de gestion/UThies/bourses d’études de la Turquie/recrutement de trois assistants/Avis de recrutement d'un ingénieur/Directeur de Recherche/poste d'analyste de données de vérification/fondation OR/Prix Houphouët BOIGNY 2019/chercheurs en sciences sociales/Maîtrise en Politique publique et Gestion/pse-j/Génie électrique/ISED/candidatures aux voyages d’études/UCAD-ITNA/recrutement de plusieurs assistants/recrutement d'ingénieurs spécialisés/enseignant-chercheur en marketing/assistant en langue latine /Fondation Sciences Mathématiques de Paris/Concours d’entrée à LAS ACADEMIE/esea/bourse en physique médicale/EDEQUE/Les enseignants-chercheurs dont les travaux portent sur la linguistique, les scienceCLAD-UCAD/Blog4Dev 2019/poste de surveillant général/enseignant-chercheur à l’UFR LSH/postes de Doyen et d’Assesseur/FST-ISAE/UCAD-FMPO/FST/UCAD/UCAD/IPMS/Appel-PREA/recrutement d'élèves professeurs/recherche en éducation en Afrique/Licence d’Informatique/recrutement d'assistants stagiaires/chercheur en littérature africaine/RAF9056/Recrutement de consultants/UVS-Appel à candidatures/recrutement de tuteurs/Prix de la Francophonie/conseillers seniors en médiation/AFRICOM/EISMV/recrutement d'un(e) linguiste/poste de secrétaire de direction/mobilités académiques/Brésil/directeur de l’EBAD/assistants /formation à court terme UA-Corée/CAMPUS FRANCO-SENEGALAIS/Administrateur de système informatique/recrutement de plusieurs profils au cesti/Chargé de média et de communication/technicien supérieur en entomologie/ELE AFRICA/ACADEMY/Ecole d’été CODESRIA – CASB/UEMOA/chef des Services administratifsresponsable Contrôle Audit et Qualité/postes d'enseignants-chercheurs/poste de Contrôleur de gestion/UPA/assistant en combat

Initié en 2002, le Prix vise à promouvoir une recherche en éducation de qualité produite par les universités, les centres et les réseaux de recherche africains.

Le Prix est organisé par l’Association pour le développement de l’éducation en Afrique (ADEA) et l’Institut africain de développement (IAD) du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), avec le soutien financier de la Coopération économique Corée-Afrique (KOAFEC).

L’appel est ouvert jusqu’au 15 octobre 2018 à 23h59 GMT

Il récompense quatre catégories de chercheurs ou d’institutions :
(1) meilleur chercheur émergent en éducation ;
(2) mentor émérite de chercheurs en éducation ;
(3) meilleur(e) chercheur(e) chevronné(e) en éducation ;
(4) meilleur environnement institutionnel propice à la recherche en éducation.

Les objectifs poursuivis par le Prix pour la recherche en éducation en Afrique sont les suivants :

  • Renforcer les liens entre la recherche en éducation et l’élaboration des politiques d’éducation et leur mise en œuvre en Afrique ;
  • Encourager et soutenir les chercheurs basés en Afrique et leurs institutions à produire et à diffuser une recherche rigoureuse et pertinente susceptible de stimuler l’élaboration de politiques éducatives innovantes pour l’Afrique;
  • Faciliter l’interaction entre chercheurs et décideurs afin de promouvoir l’utilisation systématique des résultats de la recherche pour concevoir, formuler, mettre en œuvre et évaluer les politiques éducatives.
  • Faciliter l’identification de chercheurs expérimentés pour fournir du contenu à la plateforme continentale de l’éducation de l’ADEA, l’un des piliers principaux du Plan stratégique 2018-2010 de l’Association.

>Pour en savoir plus
>Pour candidater

mediaterre.org

Written by Abdourahmane

Je suis Diplômé en Aménagement et Gestion Urbaine en Afrique, Spécialiste en économie urbaine en même tant Reporter et Éditeur au Journal Universitaire. Je suis également un passionné des TIC.

Géomatique-Institut SABDARIFA/Institut SABDARIFA-JPO/Bourses en Administration et Gestion des Entreprises

Offres de bourses de formation en Administration et Gestion des Entreprises à l’Institut SABDARIFA

développement agricole/Selon une étude du cabinet BearingPoint, l’utilisation d’applications mobiles, notamment, pourrait apporter davantage d’efficacité à l’agriculture africaine. D’ici à 2050, la population africaine sera passée de 1,2 à plus de 2,5 milliards d’habitants. L’enjeu majeur sera de nourrir deux fois plus d’Africains, alors que l’agriculture sur le continent est cinq à six fois moins productive que la moyenne mondiale. Aujourd’hui encore, l’insécurité alimentaire sévit dans de nombreux pays. Mais les solutions apportées par les nouvelles technologies pourraient changer la donne, selon une étude du cabinet Bearing Point intitulée « Le nouvel or vert de l’Afrique ». A l’heure actuelle, la plus grande partie de la nourriture consommée en Afrique provient de 250 millions de petites exploitations familiales disposant de faibles moyens. La filière agricole est tellement peu organisée que 40 à 70 % des récoltes sont jetées, faute de lisibilité de l’offre et de la demande : par exemple, les meuniers n’achètent qu’une partie des productions car ils doutent pouvoir vendre à l’échelon suivant. La plupart des pays africains sont donc contraints d’importer du riz, du maïs ou du blé pour combler ce manque. Ainsi, en Côte d’Ivoire, bien que les riziculteurs produisent l’équivalent de ce que la population consomme, 50 % du riz consommé est importé d’Asie. BearingPoint Une aberration qui pourrait être résolue par la mise en place d’une plateforme numérique, plaide Jean-Michel Huet, associé chargé du développement international et de l’Afrique chez BearingPoint. En réunissant tous les acteurs du secteur, celle-ci, conçue par exemple sous la forme d’une application mobile, encouragerait la circulation de l’information, rassurerait les acheteurs sur les possibilités d’écoulement et permettrait au monde paysan de vendre l’intégralité de sa production. Des revenus multipliés par deux A la clé, les agriculteurs pourraient multiplier par deux leurs rentrées d’argent. En Afrique, ceux-ci gagnent en moyenne entre 800 et 950 euros par an. « Ce doublement permettrait à cette catégorie de la population de passer du groupe des 60 % d’Africains les plus pauvres au début de la classe moyenne », souligne l’associé du cabinet européen. Cette augmentation des revenus autoriserait du même coup l’exploitant à acheter des services supplémentaires qui viendraient accroître sa productivité. La plateforme permettrait également de proposer des biens et des services aux agriculteurs, des produits bancaires aux assurances en passant les intrants agricoles. « Grâce à la plateforme, un assureur a accès à M. Untel, propriétaire de X hectares de riz, et à ses coordonnées. Il lui fait une offre, que M. Untel peut payer par paiement mobile, et il fait sa prospection comme ça », illustre Jean-Michel Huet. BearingPoint Déjà, des modèles sectoriels d’intégration numérique commencent à se mettre en place de façon ponctuelle. Ainsi, au Nigeria, l’ONG Convention on Business Integrity s’est associée avec une banque, en octobre 2018, pour lancer une plateforme numérique à destination des producteurs de maïs. Grâce à l’application mobile SAP Rural Sourcing Management, les acteurs de la filière échangent des informations, de l’agriculteur jusqu’au transformateur. Pour l’instant, 50 000 agriculteurs sont impliqués. « Résultat : ils vendent 100 % de leur production depuis novembre », affirme Jean-Michel Huet. Les plateformes numériques ne sont pas le seul modèle pertinent. Ainsi, le Centre international d’agriculture tropicale (CIAT) a lancé en 2009 un Service d’information des sols africains (AfSIS) dont l’objectif est de dresser une cartographie numérique à l’échelle du continent. Par la combinaison de l’imagerie satellite et de la spectroscopie infrarouge, auxquelles s’est depuis ajouté le drone agricole, l’AfSIS appuie les politiques gouvernementales et aide les ONG à promouvoir les types d’agriculture les plus adaptés aux territoires. Plusieurs obstacles se dressent Mais si quelques pistes s’esquissent, l’alliance entre l’agriculture et le numérique est encore à inventer. « On parle de grosses transformations, cela ne sera pas facile », concède Jean-Michel Huet. Plusieurs obstacles se dressent, comme l’accès à Internet, qui demeure faible en Afrique, ou le taux élevé d’analphabétisme. Malgré ces freins, « de plus en plus d’entreprises privées commencent à investir grâce au bouche-à-oreille », rapporte l’analyste. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Une « révolution verte » en Afrique grâce à la blockchain ? BearingPoint a simulé l’impact des plateformes numériques sur l’ensemble de l’économie africaine d’ici à 2050, selon quatre scénarios. Dans le plus pessimiste, l’effet est marginal : le temps de développement de l’innovation est long, au point que seuls 5 % des petits agriculteurs finissent par l’adopter. Selon le scénario le plus optimiste, peu d’acteurs s’engagent au départ, mais le modèle trouve son rythme en 2030 grâce au bouche-à-oreille, pour finir par toucher 80 % d’agriculteurs en 2050. BearingPoint Le cabinet de conseil estime alors à 350 millions le nombre de petits agriculteurs familiaux qui bénéficieraient d’un revenu de 2 200 euros par an, et à 630 milliards d’euros la contribution de l’agriculture au PIB africain. « Grosso modo, c’est deux fois les revenus du pétrole à euro constant », indique Jean-Michel Huet. L’agriculture Afrique 2050/formation en pilotage de drone

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