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Recrutement d’un expert en Ressources Humaines

Recrutement d'un expert en Ressources Humaines

Recrutement d’un expert en Ressources Humaines par GIZ

Pour ses activités, la CIZ (Deutsche Gesellschaft fur In­ternationale Zusammenarbeit GmbH) peut compter sur une expertise régionale avérée, un vaste savoir de spé­cialiste et des compétences managériales éprouvées. En sa qualité d’entreprise fédérale, elle aide le gouver­nement allemand à concrétiser ses objectifs de coopé­ration internationale pour le développement durable. Le principal commettant de la CIZ est le ministère fédé­ral allemand de la Coopération économique et du Déve­loppement (BMZ).

La CIZ est active dans plus de 130 pays à travers la pla­nète. En République fédérale d’Allemagne, elle est pré­sente dans presque tous les pays et a son siège social à Bonn et Eschborn. La GIZ emploie de par le monde plus de 16 000 collaboratrices et collaborateurs, dont près de 70% sont des membres du personnel national recru­tés sur place.

La GIZ Sénégal, Coopération Allemande au Développe­ment recherche pour le compte du Bureau régional un(e) / Expert(e) en Ressources Humaines- selon les descriptions de poste ci-jointe.

Domaine de responsabilité

Le/la titulaire du poste est responsable des activités sui­vantes :

Appui responsable de département de RH dans le res­pect de ses instructions ;

Appui dans le traitement de toutes les questions qui se présentent dans le domaine considéré ;

Aide au classement de documents dans des dossiers papier ou le DMS conformément aux règles de classe­ment de la GIZ;

Appui dans la gestion des connaissances par une diffu­sion et documentation

Gestion de pale ;

Donner une bonne impression du Bureau GIZ par une attitude ouverte, prévenante et orientée vers le client en respectant les Orientations et Règles (O&R) de la GIZ;

Dans ce cadre, le/la titulaire du poste a les attributions suivantes :

Attributions

 Recrutement de personnel

Le/la titulaire du poste

Aide dans le lancement du processus de recrutement;

Aide à la présélection des candidatures reçues sur la base des exigences ou des critères de recrutement et demande des références ;

Appuie l’organisation de la procédure de sélection (par ex. entretiens d’embauche) ;

Aide à informer les candidat(e)s dont les dossiers ont été rejetés, documente le processus de sélection, ar­chive les documents et saisit les données dans les sys­tèmes de GRH existants.

Aide à organiser les entretiens d’embauche en colla­boration avec le cabinet et les projets

Gestion de l’embauche

Le/la titulaire du poste

En concertation avec le J la Responsable RH, appui dans la rédaction des correspondances administratives de l’embauche ;

Inscription des nouveaux collaborateurs à la CNSS ;

Suivi des dossiers de déclaration d’embauche à l’Ins­pection du Travail ;

Suivi du personnel

Le/la titulaire du poste

Photocopie et numérise des documents en rapport avec le département de RH ;

Classement régulier des dossiers du personnel RH dans DMS ;

Organise les supports d’information et les assembles

 

Appui le / la Responsable RH dans la mise met à jour les informations relatives aux conditions d’emploi du personnel national (système de rémunération, groupes de rémunération, descriptifs de poste types, droit du travail, etc.) ;

Identifie les dossiers conformément aux règles de classement de la GIZ ;

Prépare les attestations de service et autre attestation

 

Aide à la préparation de correspondances du départe­ment RH ;

S’associe à toutes les autres tâches d’organisation et formalités administratives, par exemple actualisation mensuelle des données dans le système SAP HR pour le personnel national ;

Appui à la préparation des dossiers de départ du per­sonnel (correspondances assurance maladie, banque, remise des cartes d’assurance maladie, quittance de solde de tout compte ;

Gestion des congés ;

Appui à l’enquête salariale ;

Gestion de la paie et déclarations fiscales et sociales

Le/la titulaire du poste

Élabore à la fin du mois les bulletins de salaire pour tout personnel GIZ à l’aide d’un logiciel de paie,

Établit mensuel des déclarations de Versement des Retenues sur les Salaires (VRS)

Établit des déclarations de la Caisse de Sécurité So­ciale (CSS) ainsi que les états récapitulatifs annuels ;

Établit des déclarations de l’Institut de Prévoyance Re­traite (IPRES) ainsi que les états récapitulatifs annuels ;

Établit de la déclaration annuelle de la situation de main d’œuvre

Établit des déclarations trimestrielles et annuelles des rémunérations des contrats de consultants pour le Bor­dereau de Retenue à la Source des sommes versées à des tiers, à titre de rémunération ou à titre de loyers (BRS)

Établit des états récapitulatifs annuels (salaires, loyers)

Suit des avances sur salaire est responsables pour le classement électronique et hard copy des preuves des paiements de la CSS, de VRS et de l’IPRES ;

Représente la GIZ auprès de la Direction des Impôts et auprès des organismes sociaux tels que l’IPRES et la CSS

Instruments et méthodes de la politique des RH

Le/la titulaire du poste

Prête appui pour la mise en application de la politique du personnel national ;

Participe à la gestion du personnel national ;

Prête appui pour l’élaboration et l’actualisation de di­vers matériels d’information (pour les nouveaux colla­borateurs/collaboratrices ou manuel de l’emploi) ;

Appui l’expert RH dans le classement et la mise à jour des dossiers du personnel des entretiens d’évaluation, classement des questionnaires, vérification des docu­ments sur les besoins de qualification et le développe ment des compétences, etc.);

Apporte un appui pour les actions de formation (par ex. élaboration de supports pédagogiques ou planifica­tion des locaux pour le séminaire d’intégration de nou­veaux collaborateurs /collaboratrices) ;

Planifie et suit la planification annuelle des formations du personnel national ;

Participe à l’organisation des Formations du person­nel;

Autres attributions

Le/la titulaire du poste

Assume d’autres activités et tâches sur instruction de son supérieur.

Profil Qualification

Licence/maîtrise en sciences de gestion RH, Adminis­tration /diplôme d’études de droit ou de sciences so­ciales (si possible avec spécialisation en gestion des RH) ou diplôme équivalent

Certificat/diplôme délivré par une école reconnue de formation à des fonctions de bureau ou certificat/di­plôme similaire

Expérience professionnelle

Au moins S ans d’expérience professionnelle à un

poste similaire

Autres connaissances/compétences

Bonne connaissance pratique de l’utilisation des tech­nologies de l’information et de la communication (logi­ciels correspondants ainsi que téléphone, télécopie,

courrier électronique, Internet) ainsi que des applica­tions informatiques (telles que MS Office)

Connaissance de base du droit du travail et du droit

social du pays ;

Connaissance de base de la gestion des ressources hu­maines ; première expérience professionnelle souhaitée

Bonne connaissance de la langue véhiculaire euro­péenne du pays ; connaissances en allemand et en an­glais souhaitées

Traitement strictement confidentiel de toutes les af­faires concernant le personnel

Acquisition de qualifications requises dans le domaine d’attributions. Des mesures de formation adaptées sont choisies en concertation avec le cadre de direction com­pétent

Dossiers de candidature :

Une lettre de motivation

Un curriculum détaillé (si possible sous forme de ta­bleau)

Trois références professionnelles

Date limite des dépôts de candidature :

Les dossiers de candidatures complets devront être en­voyés au plus tard jeudi 31.05.2018 à 16 heures 00 :

Par mode électronique : à recrutement-sn@glz.de avec pour objet «Expert(e) en Ressources Humaines»

Par mode physique : sous pli fermé et anonyme, por­tant la mention «Experte) en Ressources Humaines- au Bureau régional de la GIZ, sis 109, Rue Carnot x angle Mass Diokhané, Dakar.

NB : Seul(e)s les candidat(e)s présélectionné(e)s seront contactées pour la suite de la procédure

Written by Binette Ndiaye

développement agricole/Selon une étude du cabinet BearingPoint, l’utilisation d’applications mobiles, notamment, pourrait apporter davantage d’efficacité à l’agriculture africaine. D’ici à 2050, la population africaine sera passée de 1,2 à plus de 2,5 milliards d’habitants. L’enjeu majeur sera de nourrir deux fois plus d’Africains, alors que l’agriculture sur le continent est cinq à six fois moins productive que la moyenne mondiale. Aujourd’hui encore, l’insécurité alimentaire sévit dans de nombreux pays. Mais les solutions apportées par les nouvelles technologies pourraient changer la donne, selon une étude du cabinet Bearing Point intitulée « Le nouvel or vert de l’Afrique ». A l’heure actuelle, la plus grande partie de la nourriture consommée en Afrique provient de 250 millions de petites exploitations familiales disposant de faibles moyens. La filière agricole est tellement peu organisée que 40 à 70 % des récoltes sont jetées, faute de lisibilité de l’offre et de la demande : par exemple, les meuniers n’achètent qu’une partie des productions car ils doutent pouvoir vendre à l’échelon suivant. La plupart des pays africains sont donc contraints d’importer du riz, du maïs ou du blé pour combler ce manque. Ainsi, en Côte d’Ivoire, bien que les riziculteurs produisent l’équivalent de ce que la population consomme, 50 % du riz consommé est importé d’Asie. BearingPoint Une aberration qui pourrait être résolue par la mise en place d’une plateforme numérique, plaide Jean-Michel Huet, associé chargé du développement international et de l’Afrique chez BearingPoint. En réunissant tous les acteurs du secteur, celle-ci, conçue par exemple sous la forme d’une application mobile, encouragerait la circulation de l’information, rassurerait les acheteurs sur les possibilités d’écoulement et permettrait au monde paysan de vendre l’intégralité de sa production. Des revenus multipliés par deux A la clé, les agriculteurs pourraient multiplier par deux leurs rentrées d’argent. En Afrique, ceux-ci gagnent en moyenne entre 800 et 950 euros par an. « Ce doublement permettrait à cette catégorie de la population de passer du groupe des 60 % d’Africains les plus pauvres au début de la classe moyenne », souligne l’associé du cabinet européen. Cette augmentation des revenus autoriserait du même coup l’exploitant à acheter des services supplémentaires qui viendraient accroître sa productivité. La plateforme permettrait également de proposer des biens et des services aux agriculteurs, des produits bancaires aux assurances en passant les intrants agricoles. « Grâce à la plateforme, un assureur a accès à M. Untel, propriétaire de X hectares de riz, et à ses coordonnées. Il lui fait une offre, que M. Untel peut payer par paiement mobile, et il fait sa prospection comme ça », illustre Jean-Michel Huet. BearingPoint Déjà, des modèles sectoriels d’intégration numérique commencent à se mettre en place de façon ponctuelle. Ainsi, au Nigeria, l’ONG Convention on Business Integrity s’est associée avec une banque, en octobre 2018, pour lancer une plateforme numérique à destination des producteurs de maïs. Grâce à l’application mobile SAP Rural Sourcing Management, les acteurs de la filière échangent des informations, de l’agriculteur jusqu’au transformateur. Pour l’instant, 50 000 agriculteurs sont impliqués. « Résultat : ils vendent 100 % de leur production depuis novembre », affirme Jean-Michel Huet. Les plateformes numériques ne sont pas le seul modèle pertinent. Ainsi, le Centre international d’agriculture tropicale (CIAT) a lancé en 2009 un Service d’information des sols africains (AfSIS) dont l’objectif est de dresser une cartographie numérique à l’échelle du continent. Par la combinaison de l’imagerie satellite et de la spectroscopie infrarouge, auxquelles s’est depuis ajouté le drone agricole, l’AfSIS appuie les politiques gouvernementales et aide les ONG à promouvoir les types d’agriculture les plus adaptés aux territoires. Plusieurs obstacles se dressent Mais si quelques pistes s’esquissent, l’alliance entre l’agriculture et le numérique est encore à inventer. « On parle de grosses transformations, cela ne sera pas facile », concède Jean-Michel Huet. Plusieurs obstacles se dressent, comme l’accès à Internet, qui demeure faible en Afrique, ou le taux élevé d’analphabétisme. Malgré ces freins, « de plus en plus d’entreprises privées commencent à investir grâce au bouche-à-oreille », rapporte l’analyste. Article réservé à nos abonnés Lire aussi Une « révolution verte » en Afrique grâce à la blockchain ? BearingPoint a simulé l’impact des plateformes numériques sur l’ensemble de l’économie africaine d’ici à 2050, selon quatre scénarios. Dans le plus pessimiste, l’effet est marginal : le temps de développement de l’innovation est long, au point que seuls 5 % des petits agriculteurs finissent par l’adopter. Selon le scénario le plus optimiste, peu d’acteurs s’engagent au départ, mais le modèle trouve son rythme en 2030 grâce au bouche-à-oreille, pour finir par toucher 80 % d’agriculteurs en 2050. BearingPoint Le cabinet de conseil estime alors à 350 millions le nombre de petits agriculteurs familiaux qui bénéficieraient d’un revenu de 2 200 euros par an, et à 630 milliards d’euros la contribution de l’agriculture au PIB africain. « Grosso modo, c’est deux fois les revenus du pétrole à euro constant », indique Jean-Michel Huet. L’agriculture Afrique 2050/formation en pilotage de drone

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